“Niklaus&Caroline”

ebekah parti, Elijah dans une espèce d’histoire avec une humaine somme toute banale, Katerina par-ci, Elena par-là, il fallait à l’hybride originel un peu de calme pour réfléchir et ne pas être embêter. Jean, t-shirt, basket, il était parti dans la ville, dans les à côté de la ville, pour tenter de se vider la tête. Klaus n’avait jamais regretté un geste, ni une parole, pourtant, quelque chose clochait pour lui.
Il ne pouvait pas supporter que sa sœur l’ai trahi de la sorte, mais été heureux de ne plus avoir les leçons de morales moralisatrices d’Elijah qui préférait passer son temps livre avec cette irlandaise aux cheveux de feu, malgré tout, sa famille lui manquait. Il avait ses hybrides, il avait sa bulgare, mais quelque chose lui manquait. Il ne supportait définitivement pas que sa sœur soit devenu une simple humaine, il ne pouvait le cautionner, ni tenter de comprendre.
Pour trouver un endroit calme, Niklaus pensa au cimetière. Il n’avait personne a allé voir, même s’il pensait tout de même à ses frères et sœurs, morts depuis peu ou trop longtemps. Pensant que le cimetière était un endroit parfait, il s’y rendit, déambulant entre les tombes avant qu’une odeur ne le fasse tiquer. Il se cacha, non pas par peur, mais pour voir qui serait son souffre-douleur. Il s’apprêtait à sauter sur cette silhouette vampirique, à lui arracher le cœur pour n’avait fait que passer, mais l’originel s’arrêta net lorsqu’il reconnut cette personne. Un léger sourire sur les lèvres, l’originel arriva rapidement derrière Caroline. S’il n’avait pas prévu de lui faire du mal, son aura noire parlait pour lui.
- Mademoille Forbes. Ces fleurs sont jolies, mais bien moins que vous.
Une petite voix au fond de lui, lui interdisait de lui faire le moindre mal, alors, il se contenta de mettre ses mains dans ses poches en la regardant avec une tendresse malsaine.
- Que fais-tu ici, Caroline. Ton chevalier servant n’est pas là ?
Il eut du mal à prononcer cette phrase, parce que Klaus ne se l’avouerais pas, mais que cette blonde soit avec Stefan le mettait hors de lui.

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i belle et si solitaire. L’hybride originel avait toujours eu un faible pour cette blonde au grand cœur, avec ses yeux envoutant et son sourire charmeur, ce tempérament de feu et cette passion inavouée, pourtant tout avait changé maintenant. Heureux dans cette osmose avec Katerina, Niklaus regardait la belle Caroline un peu différemment, mais il sentait quelque chose. Rien n’était fini de ce qu’il ressentait. Elle était touchante à parler et honorer les morts, non pas les siens, mais ceux de sa captive, pourtant, Klaus ne s’en voulait pas. Ses hybrides vivaient grâce à la jeune Gibert et rien ne changerait cela. Personne ne pourrait le faire la libérer, pas son frère, pas les amis d’Elena, pas même Caroline.
- Je suis venu ici naturellement, c’est le destin qui nous a réuni ici ma chère. Je te prierais de faire attention à la manière dont tu parles !
Le respect pour sa personne était le plus important pour l’originel, il ne fallait pas qu’elle oublie ce point. Il n’hésiterait en aucune manière à la tuer pour ça.
Pour répondre à ta question je suis venue porter des fleurs aux parents d'Elena. Ensuite, mon chevalier servant a un prénom et il s'appelle Stefan et tu peux voir il n'est pas ici je suis seule. Stefan n'est pas toujours là à me surveiller.
Son sourire d’élargit et il se rapprocha de la belle Caroline, tellement proche que ça défiait l’indécent. Les yeux dans les yeux, son sourire s’aggrandit à mesure qu’il était près d’elle, mais jamais il ne trahirait Katerina, il en avait la conviction, pourtant…Quelque chose l’étonnait dans ce concept. Ne pas trahir Katerina Petrova ? Celle envers qui il avait une haine indéniable quelques temps auparavant ? De sa tête, il fit sortir ses idées pour se reconcentrer sur sa belle au sourire triste dans ce triste cimetière.
- J’aurais été à sa place, je ne t’aurais jamais quitté. D’ailleurs, comment va ton amie ? Oh j’oubliais, elle a miraculeusement disparut, c’est étrange, n’est-ce pas ?
Son rire diabolique arriva aux oreilles de la blonde et son regard voulait tout dire. Oui, tous savaient que c’était lui qui la retenait et il ne craignait rien ni personne. Personne n’oserait faire quelque chose, pas maintenant que les hybrides étaient en vie et pouvait les tuer si rapidement. Seul son sang pouvait les sauver et Klaus en jubilait fortement. Personne ne ferait rien, il en était sûr, mais il savait qu’un jour, tout changerait. Il devrait faire un choix.
- Ne sois pas si froide avec moi, tu sais que je ne veux que ton bien. Où est donc passé ton amitié pour moi ?
Amitié… Caroline le détestait, c’était un fait, mais dans ses yeux, il pouvait y lire autre chose et ça depuis le début. Ils avaient été proche et jamais il n’avait caché son affection pour cette blonde, pourtant, oui, tout était différent maintenant. Il voulait la toucher, il voulait s’approcher un peu plus, mais dans son esprit le visage de la belle bulgare revint comme un violent coup.

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’hybride originel voyait Caroline différemment des autres. Elle était spéciale pour lui, elle était différente, elle était-elle et ça avait toujours plut à l’hybride. Et il l’écoutait avec son éternel sourire sur les lèvres. Elle l’amusait totalement et son impudence lui donner envie de la serrer contre lui, pas de la détruire, comme les autres. Pourtant, alors que son esprit divaguait vers Caroline, Katerina lui revint en tête, sa douce et parfaite petite Bulgare. Elle pensait donc que l’hybride n’avait que ça à faire, que de la suivre ?
- Tu penses avoir trop d’intérêt très chère. Je suis ici pour me promener, pas pour te causer quelques tourments. Je n’y peux rien si Katerina t’as fait ça, mais tu ne peux pas lui en vouloir, si ? Tu aimes ta vie de vampire, non ?
Et il savait qu’elle l’aimait. Elle était devenue parfaite. Elle n’était plus une gamine insolente et arrogante, elle était devenu ce qu’elle ne deviendrait jamais en tant qu’humaine. Elle avait cette force qui forçait le respect, savoir qu’il était et continuer à lui parler de cette manière alors qu’il pourrait très bien prendre son cœur entre mes mains et l’exterminer. Mais étant ce qu’elle est, étant Caroline, il ne pouvait pas lui faire mal.
Alors qu’elle reprenait son discours, les nerfs de Nicklaus se mirent à craquer. Il s’approcha d’elle, usant de sa vitesse vampirique et la saisit avec force par les bras. Il n’avait pas supporté qu’elle lui parle comme ça. Il se mit à vociférer entre ses dents, il ne voulait pas crier, ça ne servait à rien.
- Ecoutes moi, très chère Caroline. Tu vas vite te calmer si tu ne veux pas que je m’occupe de ton cas. La vie est ce qu’elle est et je te prierais de mesurer tes paroles. Ne parles pas de ce que tu ne connais pas !
Ainsi l’hybride apprit qu’elle était au courant que c’était lui qui retenait Elena, à mesure où il ne l’avait pas caché, ça n’était pas compliqué, surtout qu’elle savait que Damon avait cherché dans ma maison. Elle continua et sa haine se déversa. La plus simple des solutions pour Niklaus pour ne pas frapper cette blonde, alors il souleva la pierre tombale la plus proche pour l’envoyer s’écraser contre un mur, sa haine ne demandant qu’à exploser.
- Toi et les autres vous n’avez jamais rien compris ! Oui je pense à moi, je pense à Katerina et alors ? Je fais ce que je veux et vous n’avez qu’à accusez le coup ! Je ne la tuerais pas, elle m’est trop importante pour ça ! Alors tu vas calmer ta crise d’hystérie où je t’envoie rejoindre l’autre côté !
Il s’approcha d’elle, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre, les yeux dans les yeux. Son souffle caressa la peau de la jeune blonde, cette fougue et cette envie irrésistible de gouter à sa peau. Ses doigts caressèrent sa peau un sourire sur les lèvres.
- Tu vas te calmer, Caroline, il serait dommage que mes crocs traversent ta jolie peau, à toi, comme à tes proches. Vous allez nous laissez faire ce que l’on veut et il n’y aura pas de soucis. Tu n’aurais pas dû me repousser, il y quelques temps, j’aurais pu faire de toi une reine…

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i elle avait le droit d’en vouloir à Katerina, oui sans doute, mais le fait était clair, L’hybride n’y pouvait rien. Ça n’était pas la faute de Klaus si Katerina l’avait tué… Niklaus aurait apprécié que Caroline s’en rende compte. Néanmoins, il ne pouvait pas montrer qu’il était touché par les paroles de la blonde, aussi, il devait faire semblant, ce qu’il savait faire de mieux.
- SI tu veux mourir, tu sais que je peux t’aider Caroline.
Un sourire cancanier pour donner le change. Elle le défi, il aime ça. Il avait toujours aimé sa fougue, son caractère. Il grimaça lorsqu’elle pensait qu’il avait pris un malin plaisir à la torturer. Comment pouvait-elle penser ça de lui, sachant qu’il lui avait dévoilé ses presque sentiments pour elle. Elle lui plaisait, elle lui avait toujours plu, c’était réciproque. Son regard devint plus sombre et il la saisit par les épaules avec force, crocs en avant.
- Comment oses-tu ?! Comment oses-tu imaginer que j’ai pris un malin plaisir à t’avoir chez moi de cette manière ?! Me vois-tu réellement comme ce monstre sans cœur ?
C’était un poil vexant pour l’hybride, surtout connaissant sa fierté bien poussée. Ils n’avaient pas à le comprendre ? Niklaus s’en moquait, qu’ils le comprennent ou non, il faisait ce qu’il voulait, c’était ça, d’être un hybride originel. Il la comprenait sur ce point. Il la colla à son corps, leurs souffles jouant tous les deux et leurs yeux se croisèrent.
- Je ne la tuerais pas. C’est peut-être la seule chose dans laquelle tu peux me faire confiance. Tu devrais savoir que sa vie m’est importante.
Il n’allait pas rentrer dans son jeu, pas lui avouer que sa vie lui était précieuse, qu’elle faisait partie de ces rares personnes à avoir une importance pour lui. Il ne pourrait la tuer que sous certaines conditions. Il avait cette impression que même sous le coup de la colère, il ne le pourrait pas. Elle était spéciale, la Caroline. L’écoutait par la suite ravis l’originel qui laissa échapper un sourire presque sincère. Elle était toujours attirée ? Oh, ça, il le savait. La main de Klaus glissa sur la joue de la blonde, satisfait. Il pouvait ressentir son attirance envers lui, ça ressortait sous chacun de ses pores, il pouvait sentir ses envies.
- Tu penses ce que tu veux, ma douce. Tu as décidé de te mettre avec ce Salvatore, c’est ton choix. Sais-tu que tu vas le regretter un jour ou l’autre ? Que tu viendras me voir, vouloir de moi une chance de connaitre le vrai plaisir ? Votre relation sera très…plate.
Sur ces mots, il la lâche et fait quelque pas en arrière.
- Il est temps pour moi de partir, j’ai des choses à faire, mais soit sûre, je passerais tes salutations à Elena.

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lle venait de toucher un point. Il tenait trop à elle pour la tuer. Il ne le montrera pas, il ne peut pas le montrer. Il ne répondrait pas, si elle venait à croire qu’il ne l’aimait pas, elle s’éloignerait et il serait moins tenté. Bien qu’il soit avec Katerina, Caroline à ce petit quelque chose qu’il aime et qu’il aimera toujours. Alors oui, il tient à elle, mais ne le dira pas. Elle venait de le dire, il y avait ce petit truc entre les deux, de toute façon, ils le savaient, mais Niklaus avait besoin de l’entendre. Méchant et cruel ? Il le savait, il vivait très bien avec cette idée. Il vivait avec l’idée qu’il n’était pas aimé, encore moins, maintenant, par sa sœur. Elena, Stefan, Damon, Caroline, tout le monde ne l’aimait pas et il vivait très bien avec ça. Non, Caroline ne le détestait pas, où bien, elle le haïssait autant qu’elle l’aimait ? C’était compliqué et la seule idée d’embrasser ses lèvres lui donnait une telle envie… Il ne pouvait pas céder, pas encore. Elle voulait des preuves ? Il n’avait aucune preuve à donner à Caroline, même s’il le voulait, il ne pouvait pas lui en donner.
- Tu dois me faire confiance. Je ne la tuerais pas. Je te donne ma parole que je ne la tuerais pas.
C’était tout ce qu’il pouvait faire. Donner sa parole. Au fond de lui, il espérait que ça lui convienne, parce qu’il ne pouvait rien faire d’autre, il n’allait pas libérer Elena, il avait besoin de son sang. Elle devrait se contenter de ça, sinon, ça serait tant pis pour elle. Il n’allait pas se prendre la tête, même pour cette douceur blonde à qui il tenait. S’envoyer en l’air avec Katerina ? Caroline serait-elle jalouse de l’histoire de l’hybride avec la bulgare ? Tenait-elle à lui, autant qu’il tenait à elle ? « Je t’aurais choisi toi » … Il la regarda, ne masquant pas son étonnement. Il s’approcha d’elle à nouveau, ses mains autours de son visage, ses lèvres près des siennes. Les yeux dans les yeux, il fit quelque chose que Caroline lui en voudrait, il le savait, mais il avait surtout, besoin de savoir. Alors, il usa de son don d’hypnose sur les vampires.
- Dis-moi si tu m’aimes, ne serait-ce qu’un peu. Dis-moi si j’ai toujours une chance avec toi, Caroline. Un jour, tu quitteras Stefan, pour moi, n’est-ce pas ? Et surtout…Que dois-je faire pour t’avoir à mes côtés ?
Elle ne pourrait pas lui mentir, il était prêt à tout entendre. Même si elle préférait Stefan, il voulait l’’entendre, pour ne plus jamais devoir penser à elle. Et si, justement, elle lui annonçait que c’était lui qu’il préférait, il serait prêt à beaucoup pour avoir Caroline à ses côtés, c’était une promesse qu’il s’était faite.

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