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 Donna - The little poor humain

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AuteurMessage
Admin & Humaine
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Crédits : DoH
Date d'inscription : 06/04/2016
Messages : 598
Race : Humaine
Métier/Occupations : Mannequin
Statut sentimental : En cours de téléchargement
Donna Holloway
Donna Holloway
MessageSujet: Donna - The little poor humain   Donna - The little poor humain EmptyMer 6 Avr - 14:21

550 de large
Prénom P. Nom

Informations
Prénoms et Nom Donna Holloway
Nationalité Irlandaise
Âge 25 ans
Date de naissance 21/06/1986
Lieu de naissance Irlande
Métier/Renommée Mannequin & actrice
Groupe Humain

Mes petits secrets... J'ai été torturée, bafouée. Un vampire vient de m'effacer une partie de ma mémoire, car je ne suis pas prête à connaitre ce monde surnaturel.



Prendre un instantané!
- Mademoiselle, vous allez bien ?
Je lançais un regard en coin à la dame qui me parlait. Si j’allais bien ? Non, pas vraiment. C’est pourquoi je me trouve dans cette salle d’attente à l’aéroport, prête à tout quitter. Mes mains tremblent, mes yeux s’embuent de larmes. Définitivement, non, ça ne va pas.
- Oui. Tout va…allez mieux.
J’essayais tant de me convaincre, que je faisais le meilleur choix et que ma vie changerait… Laissais-moi vous compter l’histoire de cette douce, fragile et triste Donna Holloway.
Je suis née dans les années 90, j’approche de mes 25 ans et je suis terrifiée.
Lorsque ma mère me mit au monde, c’était un prêté pour un rendu, si on peut le dire ainsi. Elle me donna la vie et perdit la sienne. Mon père prit très mal la nouvelle et me le fit payer le plus souvent possible. A défaut de fêter noël, il dut enterrer sa femme et s’occuper d’une petite dont il ne supportait la vue. Je concède qu’en théorie, la perte de ma mère aurait décuplait l’amour qu’il devait me vouer, mais au contraire, c’était le contraire qui se passa.
Il n’avait pas et n’a toujours pas ce qu’on appelle la fibre paternelle et ceux sont les Jones qui m’élevèrent pour ainsi dire. Mon père me délaissait, ne s’occupait pas de moi et ses amis étaient très compatissant. Vraiment très compatissant. Ils ne savaient pas qu’en réalité mon père me haïssait car il me voyait comme l’erreur de sa vie, comme la cause de la mort de sa femme. Eux pensaient qu’il tenté en vain de se remettre de la mort de sa femme et qu’un bébé était de trop. Au final, j’étais vraiment de trop.
Les Jones avaient une fille, Martha et toutes deux du même âge, nous devinrent de très bonnes amies. Cette amitié était plus que salvatrice pour moi. Jack était du genre colérique et chaque fois qu’il poussait la voix trop fort, les Jones l’entendait et venait m’aider, où…tout simplement, j’allais cher eux. Un enfant sait où il doit allait quand son sixième sens lui dit de partir. J’avais besoin d’être consolée, protégée, aimée.
C’est à l’âge de 10 ans que ma joue connut la douleur. Une note un peu trop basse et mon père m’en flanqua une. Ce fut la première fois et pas la dernière, non, loin de là. Et jusqu’à mes 16 ans, les coups pleuvait pour n’importe quelles raisons : des miettes sur la table, une porte qui avait claqué un peu trop fort où un regard qui ressemblait trop à sa défunte femme. Jack me causa beaucoup de problèmes et je passais de plus ne plus de temps chez les Jones.
Il y eut cette soirée qui, en théorie, devait être parfaite. Avec les Jones, nous avions organisée une petite soirée, dans leurs jardins, pour mon anniversaire. J’avais quelques amis à l’époque et bien sûr, Martha qui ne me quittait jamais. Je n’étais pas du genre à être très joyeuse, j’étais plutôt du genre un peu solitaire, un peu froide et qui avait du mal à tisser des liens. Je n’aimais pas particulièrement les études et bien que je fusse assez douée pour tout ça, je ne m’y donnais pas à cœur joie. A quoi bon ?
Reprenons pour cette soirée. Les rires, la joie, les cadeaux, un peu d’alcool pour les adultes, de la danse pour les plus jeunes. En théorie, à nouveau, c’était parfait. Autant vous le dire tout de suite, ma vie se passe toujours « en théorie ». Mon père, ce bon vieux Jack avait un peu trop bu et ne supportant pas de me voir rire, de me voir un peu heureuse, commença à faire son spectacle.
- Regardé là, celle-là. Elle rit, elle s’amuse et elle oublie que si sa mère n’est pas là, c’est de sa faute.
Il titubait à mesure qu’il se rapprochait de moi, qu’il me lançait se regard qui signifiait un peu tout. Martha se rapprocha de moi, c’est la seule qui fit un geste ce soir, comme dans toute ma vie. Les parents de mon amie ne savaient pas que je supportais les coups, ils savaient juste que mon père avait tendance à crier trop fort. Martha, elle, elle savait. Elle savait ce que j’endurais depuis tant d’année, elle était la gardienne de mon secret. La main de Jack vint s’écrasais sur mon visage et je ne bougeais presque pas. J’avais l’habitude de prendre des coups et surtout, il était presque totalement bourré qu’il ne me fit pas mal. Le deuxième coup allait s’abattre quand Martha me poussa et qu’elle se prit le coup à ma place. Elle tomba sur le sol, sans doute que mon père avait frappé trop fort… Sa tête heurta violement une pierre sur le sol. C’est ainsi que mes 17 ans se passèrent. Avec la vérité éclatée sur ce que j’endurais, Martha blessée et une soirée aux urgences. Elle passa quelques mois à l’hôpital, le coup sur la tête avait fait quelque dégât. Les Jones nous tournèrent le dos, à mon père et à moi. Je n’avais plus le droit de revoir Martha, c’était trop dangereux. Au lieu de me protéger, ils m’avaient abandonnés. Je venais de perdre mes amis, mon seul réconfort.
Lors de ma dix-huitième année, je pris la décision de prendre ma vie en main, de tout changeait. Je n’allais plus réellement à l’école, je passais le plus de temps possible en dehors de chez moi, en dehors de ce cauchemar. Je n’avais plus Martha, je n’avais plus ses parents, plus de repères et toujours plus de tensions avec Jack. Une énième dispute éclata et une fois encore, je me pris un coup qui m’envoya au sol. J’aurais pu pleurer, j’aurais pu me laisser faire, mais je l’avais toujours fait et ça n’était plus possible. Un coup dans le genou de mon père et celui-ci tomba au sol. L’occasion était trop belle. Je pris ma veste et parti simplement de chez moi. Avec le recul, j’aurais dû le faire des années avant, mais qui sait comment j’aurais fini ?
Je n’avais pas beaucoup d’argent, je n’avais plus personne, mais j’étais déterminé. J’arrivais à Dublin où je trouvais un travail de serveuse. J’aurais pu trouver mieux, mais je voulais juste vivre aussi simplement que possible. Amasser autant d’argent que possible et commencer une nouvelle vie, dans un nouvel endroit. Un jour, je fis une rencontre assez surprenante. C’était un nouveau départ, celui que j’attendais. Une tasse de café et ça changea. Aussi simplement que ça.
- Vous êtes charmante, Donna.
Mon prénom était inscrit sur l’étiquette de mon veston, je ne m’inquiétais donc pas qu’il sache mon prénom. A dire vrai, j’avais l’habitude de ce genre de drague, alors je ne me formalisais plus. A la fermeture, cet homme m’attendait. J’étais sur mes gardes, mais il n’avait pas l’air terrifiant.
- N’allait pas croire que je vous veux du mal… Même si, vous attendre à la sortie de votre travail ne m’aide pas pour la confiance… Je m’appelle Smith…Ne rigolez pas de mon nom et laissez-moi finir.
Il me fit sourire et je décidais de l’écouter. Au pire, je dirais non, il partirait, au mieux, je ne serais plus seule pendant un temps. Il me raconta qu’il était agent et qu’il avait beaucoup aimé les traits de mon visage. Ça pouvait être une arnaque, mais pourtant, Smith avait quelque chose de rassurant. Notre histoire dura deux ans. J’allai même jusqu’à m’installer avec lui à Dublin. C’était ma nouvelle vie, loin de celle que j’avais pu imaginer, mais c’était tellement mieux ! Il me trouva des contrats pour devenir mannequin de mode et même de petits rôles d’actrices. C’était plaisant et pour une fois dans ma vie, je me laissais à imaginer que j’étais heureuse. Grosse bêtise. Nous étions heureux, il m’aimait, je l’aimais. Je n’étais pas amoureuse cependant, ce qui me permit de faire ce que je fis, plus facilement. Il était parfait pour moi, j’en avais conscience. Il m’avait élevé à un rang bien supérieure que je ne l’aurais pensé. Il avait fait de moi sa reine et il était prêt à tout pour me faire plaisir. C’était une vie simple, intéressante et je rencontrais beaucoup de monde plus intéressant que les précédents. J’étais devenue quelqu’un, à mes yeux et aux yeux d’autres personnes. Notre histoire était belle. Il m’avait presque fait oublié d’où je venais et ce que je fuyais. Il ne savait rien de ma vie, je ne lui en avais pas parlé, finalement, j’aurais peut-être dû. Il savait que je cachais quelque chose, mais la fierté, la honte et la peur ne m’avait pas permis de lui parler.
Un jour, après un shoot, je vis mon père au coin d’une rue. Ça n’était pas possible, il n’avait pas pu me retrouver. Je n’avais donné de nouvelles à personnes dans mon ancienne vie, mais ma notoriété naissante lui avait permis de me retrouver. Il ne me restait qu’une chose à faire. Il n’avait pas aimé que je fuis, il n’avait pas aimé que j’échappe à son emprise. Je l’avais vu avant que lui ne me vois, c’était plus simple finalement. Je rentrais dans ce qui avait été ma première maison, pris quelques affaires, de l’argent liquide et parti sans me retourner. Il fallait que je quitte l’Irlande, que je parte sans me retourner.
A l’aéroport, je choisis la première destination qui s’offrait à moi : L’Amérique.
En attendant mon vol, cette femme me remarqua et je tentais de donner le change. Avant de partir, de prendre mon vol, j’envoyais un message à Smith, pour le prévenir, pour qu’il ne s’étonne pas.
«  Smith… Je suis désolée, mais je pars. Ça n’est pas à cause de nous, mais à cause de cette chose dont je ne t’ai pas parlé. Je suis tellement désolée. Je ne veux plus que l’on se revoit, je ne veux pas que l’on me retrouve. Merci pour tout. Au revoir… »
L’Amérique… Un nouveau départ, un énième départ, une énième envie… Je suis dans un monde perdu, je ne connais rien de ce qu’il peut se passer dans ce genre de ville perdue au fin fond de l’Amérique. Quelques contrats, quelques shoots, un nouveau logement, un nouveau moi qui sait.

La première personne que j'ai rencontré était un vampire. Il m'avait mordu et été en train de me tuer. C'était aussi simple que ça, j'avais essayé de survivre en partant et j'avais signé mon arrêt de mort. J'avais arrêté de me battre, je me laissais mourir, c'était mieux ainsi. Il arriva à ce moment. Grand, charismatique, au costume impeccable, il me sauva de ce vampire. J'étais comme dans un rêve, non un cauchemar. Les yeux qu'avait eu mon agresseur, mon sauver les avait aussi. Ils étaient de la même race et j'étais en train de mourir. Aussitôt, mon sauveur se coupa le poignet et me fit avaler son sang. Je ne voulais pas, mais je n'avais plus de force et lui, il venait de me sauver. Encore. J'allais mieux mais il me faisait peur, je tremblais. Toute la pression de mon départ était retombé lorsque je me réveillais et que mon sauver tentait de me calmer. Alors il prit une forte inspiration, me força à me calmer et tout en plantant ses yeux dans les miens, que sa main glissait sur mon visage, il me parla "Tu vas oublier ce qui c'est passé se soir. Tu ne te souviendras, ni de moi, ni de ce qu'il c'est passé. Tu continueras à être ignorante sur ma race et tu vas vivre. On se reverra, je te le promets."
Je me réveillais, dans ma chambre d'hôtel, nauséeuse et sans souvenir.
HISTOIRE


1 mot pour me décrire

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Un pseudo?

Nyla

Un âge?

24 ans

La célébrité de votre avatar?

Karen Gillan
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Un mot à propos de vous?

Pouet
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Comment avez-vous trouvé le forum?

Bonne question dit donc...

Quelque chose à dire à propos du forum?  

RéIl débute Smile

Et vous avez lu le règlement?

Bah...Je l'ai fait !
Picture!
Je suis rousse. J’ai une longue et belle chevelure rousse que j’adore, qui est ce petit quelque chose qui chez moi, m’attire. Oui, je m’attire, dans le sens où avant de plaire à quelqu’un, nous devons nous plaire à nous. J’ai des yeux verts et avec cette chevelure indomptée que sont mes cheveux, c’est mon petit truc en plus. En plus que de devoir admettre que j’ai un certaine charme, je ne suis pas parfaite, mais assez jolie pour faire mon métier. C’est que j’ai du charme si j’arrive à me trouver jolie après mes shoots. Je suis assez grande, 1m68, lorsque je mets mes talons, je suis généralement très grande et c’est un plaisir que de voir le monde de haut. Je suis assez longue et fine. Sur mon corps, parfois quand la lumière s’y prête et que l’on me voit dans le plus simple appareil, on peut percevoir les coups de mon père qui ne sont jamais totalement parti. Des bleus, des os mal placé.  Un souvenir terrible de ma jeunesse où les coups pleuvaient plus que les sourires.
Spirit!
Je suis plutôt du genre têtue, entêtée et solitaire. Dernièrement, j’ai quitté copain et travail par peur de mon père. Peur qu’il me frappe, qu’il finisse de détruire ce qu’il me reste, qu’il détruise ce que je réussis peu à peu à construire.
Je ne dirais pas que j’ai peur des autres, je suis plutôt une tête brulée, qui fonce et qui ne se pose pas trop de questions. Je suis plutôt quelqu’un de fidèle, même si j’ai quitté pays, petit-ami, repère, je suis quelqu’un de fidèle. Déjà, je suis fidèle à moi-même, j’avance pour moi, pour trouver un sens à ma vie. J’ai passé celle-ci à avoir dans la tête, du moins, on m’a forcé à penser que j’étais la cause de la mort de ma mère, alors autant dire que j’ai assez une piètre opinion de moi-même. Je sais que mon physique est un avantage, c’est comme ça que je me fais mon argent, en usant de ce charme qui est mien.
Cet argent me permet de me débrouiller. Je ne suis pas riche, je ne roule pas sur l’or, mais l’argent que je gagne me permet de vivre plus que convenablement, du moins, assez pour ce que je veux faire, ce que je veux m’acheter. J’ai un peu la folie des grandeurs sur l’argent, surtout pour les vêtements. J’aime les belles choses, j’ai la fièvre acheteuse.
Je suis coquette, je fais attention à ce que je porte, comme je me tiens, comme je vis. Je ne pense pas me compliquer la vie, au contraire, de mon point de vue, ma vie est très simple. Il n’y a que moi.

©️ Narja - Never-Utopia
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