Ici, nous allons donner un petit coup de papates aux nouveaux pour arriver aux 250 mots minimums demandés.

Partons d’une idée de base, telle que « Paul va chercher des fleurs ».  Comme vous l’avez vu dans le règlement, nous donnons quelques petits conseils, comme - Décrire ce que votre personnage pense,décrire comment il est habiller, décrire ce qu'il ressent vis à vis d'un sujet, de l’autre personnage et décrire le temps, la vue, ce qui l'entoure.
Here we go 250 mots à écrire !

Paul va chercher des fleurs => 5 mots

- Décrire ce qu’il pense
Paul, s’était levé avec l’intention de faire une surprise à sa copine, son aimée, sa chérie, sa moitié. Il avait pris un soin extrême à choisir sa tenue, car aujourd’hui, c’était un jour particulier. Pourquoi particulier, juste parce qu’il l’avait décidé ainsi. Il voulait, non, il devait lui montrer combien il tenait à elle, combien elle était importante. Pour ça, il fallait se souvenir quelles étaient les fleurs préférés de sa douce, les roses ? Les tulipes ? Les orchidées ? Oui, les roses ! Pas rouge, non, c’est classique, mais blanches ! Blanche comme sa peau de porcelaine. => 99 mots

Vous voyez, pour décrire sa belle, on a utilisé l’exagération, pour vous donner de la matière, des mots en plus, mais aussi pour montrer l’attachement. Les mots sont là pour montrer ce que ressentent vos personnages, il faut donc les utiliser !

- Décrire comment il était habillé.
Chemise, oui ! Elle aimait ça ! Rouge, bleu, gris, noire, non non, soyons comme les fleurs : Une chemise blanche. Il prit celle qu’elle adorait, c’était son cadeau qu’elle lui avait fait quelques temps avant, c’était parfait ! => 39 mots

- Ce qu’il peut ressentir sur un sujet X
Il avait pris une journée de congés, parce qu’il en avait besoin, parce qu’il avait besoin d’elle, de ses bras, de se ressourcer. Le travail était dur, lourd, épuisant. Il était exténuer sur le plan physique, comme mental. C’était devenu invivable et il imaginer le sourire qu’aurait sa princesse avec ses fleurs. A cette idée, il se sentait tellement mieux. => 60 mots

- Ce qu’il ressent sur l’autre personnage
Paul était heureux depuis qu’il avait rencontré Irina. Elle était la douceur incarné, la tendresse pure et avait un tel esprit de contradiction. Elle aimait le contredire, sur tout, sur rien et il était amoureux, alors il aimait ça. Elle avait un fort caractère, mais elle était fragile. Elle était forte, mais, dans ses mains, ça n’était qu’une enfant, une personne frêle qu’il protégerait jusqu’à la fin de sa vie.  => 70 mots.

- Le temps, la vue, l’entourage
Lorsqu’il se mit en route, il brumait légèrement, mais rapidement, merveilleusement, le soleil se leva et illumina la ville, la rue et tout. Il était content que le temps se soit autant amélioré. Ses pas le portaient chez la fleuriste, cette gentille femme d’une trentaine d’année qui lui fit un énorme bouquet, qui prit un tel soin des fleurs qui étaient pour sa belle. Lorsqu’il se mit en route pour l’habitation où vivait son trésor, il vit tant de gens dehors profité de ce soleil. Il les vit à la terrasses des cafés, des restaurants, manger, boire, rire. Flâner dans les boutiques, les écouter, rire, encore et encore, comme si rien n’était important si ce n’est cette journée.  118 mots

Alors, rassemblons tout !

Paul, s’était levé avec l’intention de faire une surprise à sa copine, son aimée, sa chérie, sa moitié. Il avait pris un soin extrême à choisir sa tenue, car aujourd’hui, c’était un jour particulier. Pourquoi particulier, juste parce qu’il l’avait décidé ainsi. Il voulait, non, il devait lui montrer combien il tenait à elle, combien elle était importante. Pour ça, il fallait se souvenir quelles étaient les fleurs préférés de sa douce, les roses ? Les tulipes ? Les orchidées ? Oui, les roses ! Pas rouge, non, c’est classique, mais blanches ! Blanche comme sa peau de porcelaine. Chemise, oui ! Elle aimait ça ! Rouge, bleu, gris, noire, non non, soyons comme les fleurs : Une chemise blanche. Il prit celle qu’elle adorait, c’était son cadeau qu’elle lui avait fait quelques temps avant, c’était parfait ! Il avait pris une journée de congés, parce qu’il en avait besoin, parce qu’il avait besoin d’elle, de ses bras, de se ressourcer. Le travail était dur, lourd, épuisant. Il était exténuer sur le plan physique, comme mental. C’était devenu invivable et il imaginer le sourire qu’aurait sa princesse avec ses fleurs. A cette idée, il se sentait tellement mieux. Paul était heureux depuis qu’il avait rencontré Irina. Elle était la douceur incarné, la tendresse pure et avait un tel esprit de contradiction. Elle aimait le contredire, sur tout, sur rien et il était amoureux, alors il aimait ça. Elle avait un fort caractère, mais elle était fragile. Elle était forte, mais, dans ses mains, ça n’était qu’une enfant, une personne frêle qu’il protégerait jusqu’à la fin de sa vie Lorsqu’il se mit en route, il brumait légèrement, mais rapidement, merveilleusement, le soleil se leva et illumina la ville, la rue et tout. Il était content que le temps se soit autant amélioré. Ses pas le portaient chez la fleuriste, cette gentille femme d’une trentaine d’année qui lui fit un énorme bouquet, qui prit un tel soin des fleurs qui étaient pour sa belle. Lorsqu’il se mit en route pour l’habitation où vivait son trésor, il vit tant de gens dehors profité de ce soleil. Il les vit à la terrasses des cafés, des restaurants, manger, boire, rire. Flâner dans les boutiques, les écouter, rire, encore et encore, comme si rien n’était important si ce n’est cette journée.  


Au final, sans s’en apercevoir, juste en se laissant porter, nous atteignions 386 mots . Vous voyez, ça n’est pas compliqué ! N’oublions pas, qu’après, l’inspiration viendra en fonction de ce que votre partenaire vous dira. N’hésitez pas à reprendre des petites choses et à partir loin dessus, car c’est ce que nous voulons. Connaitre votre partenaire, connaitre ce qu’il pense, ce qu’il veut, ce qu’il fait, ce qui le fait vivre et sourire !